Un récent sondage Royal LePage mené par Léger auprès de 2 000 baby-boomers canadiens a révélé que les trois quarts de la cohorte (75 %) sont propriétaires de leur maison. Parmi ces derniers, 64 % ont entièrement remboursé leur hypothèque et 17 % possèdent actuellement plus d’une propriété.
Les baby-boomers ont largement bénéficié de la hausse des prix de l’immobilier au cours de leur vie. Lorsqu’on leur a demandé s’ils croyaient que la propriété était un bon investissement, près de quatre baby-boomers canadiens sur cinq (78 %) ont répondu par l’affirmative. C’est donc sans surprise que 40 % d’entre eux déclarent que l’immobilier représente au moins la moitié de leur actif net.
« La génération des baby-boomers accorde une grande importance à l’accession à la propriété, et ce, pour une bonne raison. Le secteur immobilier a été très, très généreux avec eux », remarque Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « La plupart des membres de ce groupe travaillent encore et la valeur nette de leur logement est devenue le socle de la sécurité de leur retraite. La prochaine étape que ces baby-boomers, confiants sur le plan financier, ont à franchir est une question de mode de vie. »
Ayant accumulé des économies considérables grâce à l’immobilier, certains baby-boomers utiliseront la valeur nette de leur maison pour financer leur retraite. Parmi les 35 % de baby-boomers canadiens qui disent avoir l’intention d’acheter une résidence principale au cours des cinq prochaines années, 63 % ont déclaré qu’ils envisagent d’opter pour une propriété plus petite. Et plus de la moitié de ces derniers (51 %) a indiqué que ce choix visait à leur permettre de dégager de l’argent pour leur retraite, des voyages et pour aider un enfant à acheter une maison.
Ce sont effectivement 25 % des baby-boomers canadiens qui indiquent avoir aidé un enfant financièrement pour l’achat d’une propriété ou être disposé à le faire. Parmi les baby-boomers encore actifs sur le marché du travail, 27 % ont déclaré qu’ils envisageraient même de retarder leur retraite pour aider leur enfant à faire une mise de fonds sur une propriété.
L’édition 2021 du sondage de Royal LePage sur les baby-boomers a fourni des statistiques nationales et régionales, incluant des données tirées des villes de Montréal, Toronto et Vancouver. Pour plus de renseignements, consultez le communiqué de presse et les graphiques.